jeudi 4 décembre 2008

Evangile de Jésus Christ selon Saint Luc






Luc 8, 4 Comme une foule nombreuse se rassemblait et que de toutes les villes on s'acheminait vers lui, il dit par parabole:Luc 8, 5 "Le semeur est sorti pour semer sa semence. Et comme il semait, une partie du grain est tombée au bord du chemin; elle a été foulée aux pieds et les oiseaux du ciel ont tout mangé.Luc 8, 6 Une autre est tombée sur le roc et, après avoir poussé, elle s'est desséchée faute d'humidité.Luc 8, 7 Une autre est tombée au milieu des épines et, poussant avec elle, les épines l'ont étouffée.Luc 8, 8 Une autre est tombée dans la bonne terre, a poussé et produit du fruit au centuple." Et, ce disant, il s'écriait: "Entende, qui a des oreilles pour entendre!"Luc 8, 9 Ses disciples lui demandaient ce que pouvait bien signifier cette parabole.Luc 8, 10 Il dit: "A vous il a été donné de connaître les mystères du Royaume de Dieu; mais pour les autres, c'est en paraboles, afin qu'ils voient sans voir et entendent sans comprendre.Luc 8, 11 "Voici donc ce que signifie la parabole: La semence, c'est la parole de Dieu.Luc 8, 12 Ceux qui sont au bord du chemin sont ceux qui ont entendu, puis vient le diable qui enlève la Parole de leur coeur, de peur qu'ils ne croient et soient sauvés.Luc 8, 13 Ceux qui sont sur le roc sont ceux qui accueillent la Parole avec joie quand ils l'ont entendue, mais ceux-là n'ont pas de racine, ils ne croient que pour un moment, et au moment de l'épreuve ils font défection.Luc 8, 14 Ce qui est tombé dans les épines, ce sont ceux qui ont entendu, mais en cours de route les soucis, la richesse et les plaisirs de la vie les étouffent, et ils n'arrivent pas à maturité.Luc 8, 15 Et ce qui est dans la bonne terre, ce sont ceux qui, ayant entendu la Parole avec un coeur noble et généreux, la retiennent et portent du fruit par leur constance.Luc 8, 16 "Personne, après avoir allumé une lampe, ne la recouvre d'un vase ou ne la met sous un lit; on la met au contraire sur un lampadaire, pour que ceux qui pénètrent voient la lumière.Luc 8, 17 Car rien n'est caché qui ne deviendra manifeste, rien non plus n'est secret qui ne doive être connu et venir au grand jour.Luc 8, 18 Prenez donc garde à la manière dont vous écoutez! Car celui qui a, on lui donnera, et celui qui n'a pas, même ce qu'il croit avoir lui sera enlevé."

Première lettre de Saint Paul aux Corinthiens (15,35-37.42-49)




L'un de vous peut demander : « Comment les morts ressuscitent-ils ? avec quelle sorte de corps reviennent-ils ? » -
Réfléchis donc ! Quand tu sèmes une graine, elle ne peut pas donner vie sans mourir d'abord ;
et tu ne sèmes pas le corps de la plante qui va pousser, tu sèmes une graine toute nue : du blé ou autre chose.
Il en sera de même quand les morts ressusciteront. Ce qui est semé dans la terre est périssable, ce qui ressuscite est impérissable ;
ce qui est semé n'a plus de valeur, ce qui ressuscite est plein de gloire ; ce qui est semé est faible,
ce qui ressuscite est puissant ; ce qui est semé est un corps humain, ce qui ressuscite est un corps spirituel ; puisqu'il existe un corps humain, il existe aussi un corps spirituel.
L'Écriture dit : Le premier Adam était un être humain qui avait reçu la vie ; le dernier Adam - le Christ - est devenu l'être spirituel qui donne la vie.
Ce qui est apparu d'abord, ce n'est pas l'être spirituel, c'est l'être humain, et ensuite seulement, le spirituel.
Pétri de terre, le premier homme vient de la terre ; le deuxième homme, lui, vient du ciel.
Puisque Adam est pétri de terre, comme lui les hommes appartiennent à la terre ; puisque le Christ est venu du ciel, comme lui les hommes appartiennent au ciel.
Et de même que nous sommes à l'image de celui qui est pétri de terre, de même nous serons à l'image de celui qui vient du ciel.

mercredi 26 novembre 2008

mardi 25 novembre 2008

Jésus Notre Sauveur!



Je me couche tu me bordes,
Je me lève Tu me mumures les justes mots,
Dans la journée Tu me donnes la force du bufle,
Tu me portes, Tu me confortes, Tu m'émerveilles,
Grace à Toi je suis dans la lumière.

l'Evangile selon Saint Jean!


1 1 Au commencement était le Verbe,...
...la Parole de Dieu, et le Verbe était auprès de Dieu, et le Verbe était Dieu. 2 Il était au commencement auprès de Dieu. 3 Par lui, tout s'est fait, et rien de ce qui s'est fait ne s'est fait sans lui. 4 En lui était la vie, et la vie était la lumière des hommes ; 5 la lumière brille dans les ténèbres, et les ténèbres ne l'ont pas arrêtée.
6 Il y eut un homme envoyé par Dieu. Son nom était Jean. 7 Il était venu comme témoin, pour rendre témoignage à la Lumière, afin que tous croient par lui. 8 Cet homme n'était pas la Lumière, mais il était là pour lui rendre témoignage. 9 Le Verbe était la vraie Lumière, qui éclaire tout homme en venant dans le monde. 10 Il était dans le monde, lui par qui le monde s'était fait, mais le monde ne l'a pas reconnu. 11 Il est venu chez les siens, et les siens ne l'ont pas reçu. 12 Mais tous ceux qui l'ont reçu, ceux qui croient en son nom, il leur a donné de pouvoir devenir enfants de Dieu. 13 Ils ne sont pas nés de la chair et du sang, ni d'une volonté charnelle, ni d'une volonté d'homme : ils sont nés de Dieu.
14 Et le Verbe s'est fait chair, il a habité parmi nous, et nous avons vu sa gloire, la gloire qu'il tient de son Père comme Fils unique, plein de grâce et de vérité. 15 Jean Baptiste lui rend témoignage en proclamant : « Voici celui dont j'ai dit : Lui qui vient derrière moi, il a pris place devant moi, car avant moi il était. » 16 Tous nous avons eu part à sa plénitude, nous avons reçu grâce après grâce : 17 après la Loi communiquée par Moïse, la grâce et la vérité sont venues par Jésus Christ. 18 Dieu, personne ne l'a jamais vu ; le Fils unique, qui est dans le sein du Père, c'est lui qui a conduit à le connaître.

dimanche 26 octobre 2008

mercredi 8 octobre 2008

PRIERE AU SAINT-ESPRIT

Saint-Esprit, toi qui résous tous les problèmes, toi qui éclaires tous les chemins pour m'aider à atteindre mon but, toi qui me donnes le don divin de pardonner et d'oublier le mal que l'on m'a fait, toi qui te trouves à mes côtés dans toutes les circonstances de la vie, je veux, par cette courte prière, te remercier pour tout et te confirmer, une fois de plus, que je ne voudrais jamais être séparé de toi, même et en dépit de toute tantation matérielle illusoire. Je veux être avec toi dans la gloire éternelle. Merci pour ta miséricorde encore moi et les miens.

Le pouvoir de la Foi (James Redfield)

vendredi 19 septembre 2008

Matière à réflexion

La Bible ou le portable?

Imaginez ce qui se passerait si nous traitions notre Bible de la même manière que notre portable? Toujours nous mettrions notre Bible dans le sac, à la poche du pantalon ou de la veste. Et nous y jetterions un coup d'œil plusieurs fois par jour. Et nous reviendrions la chercher quand nous l'aurions oubliée à la maison ou au bureau. Et nous l'utiliserions pour envoyer des messages à nos amis. Et si nous la traitions comme si on ne pouvait vivre sans elle? Et si nous la offrions à nos enfants, pour leur sécurité, et pour communiquer avec eux? A la différence du portable, la Bible ne connaît pas de panne de réseau. On peut se « connecter » à elle n'importe où. On n'a pas besoin de se préoccuper du crédit, car Jésus a payé la facture et nous disposons d'un crédit illimité. Et par-dessus tout : la communication ne peut être coupée et la batterie est chargée à vie.

Numéros d'urgence :

Quand tu es triste, compose Jean 14·
Quand tu es nerveux, compose Psaume 51
Quand tu es préoccupé, compose Matthieu 6:19,34
Quand tu es en danger, compose Psaume 91
Quand Dieu te paraît loin, compose Psaume 63
Quand ta foi doit être fortifiée, compose Hébreux 11
Quand tu es seul et terrifié, compose Psaume 23
Quand tu es dur et critique, compose 1 Corinthiens 13
Pour connaître le secret du bonheur, compose Colossiens 3:12-17
Quand tu veux paix et repos, compose Matthieu 11:25-30

Message du net

mardi 2 septembre 2008

Parler de Dieu et de Son Fils Jésus c'est parlé d'Amour!

66th IFLA Council and General Conference
Jerusalem, Israel, 13-18 August
Code Number: 013-145-FDivision Number: VIIProfessional Group: Library HistoryJoint Meeting with: Meeting Number: 145Simultaneous Interpretation: No

Le Verbe (Logos), la Bible (Biblos) et la Bibliothèque (Bibliothêkê) : les influences chrétiennes sur le développement de la bibliothèqueJohn Mark Tucker

Purdue University LibrariesWest Lafayette, Indiana, USA

Résumé L'essentiel dans la nature de Yahvé est sa façon puissante d'agir en faisant naître les choses par la parole. Il agit par amour en créant les êtres humains à sa propre image afin d'être en communion avec eux. Les actes de pouvoir et d'amour de Yahvé constituent l'essentiel de sa nature. " L'amour constant du Seigneur jamais ne cesse, ses compassions jamais ne s'épuisent ; elles se renouvellent chaque matin; grande est sa fidélité. " (1).

Paper
La nature de YahvéLes traits du pouvoir associés à ceux de l'amour constituent les caractéristiques essentielles qui, pour nous, résument qui est Dieu et la façon dont il a interagi avec les êtres humains. Il est (1) le Dieu qui crée et maintient la vie sur terre, et qui a confié aux êtres humains la responsabilité de veiller sur toute la création. (2) Il est celui qui fit des promesses à Abraham après l'avoir choisi, lui et ses descendants, pour transmettre sa bénédiction à toutes les familles de la terre. (3) Il délivra les Israélites de l'esclavage en Egypte et leur fit traverser, sains et saufs, la Mer Rouge, marquant ainsi leur passage de l'asservissement à la liberté. (4) Il protégea les Israélites dans le désert, leur apportant l'instruction, instaurant la discipline, les pourvoyant en nourriture et les préparant à la Terre promise. (5) Il conclut une alliance avec le peuple, fondement d'une foi nouvelle, et il mit ce pacte par écrit. (6) Il inventa des lois pour régir les relations entre êtres humains et pour leur enseigner l'amour et le respect mutuels. (7) Il mena son peuple victorieux au combat, suscitant l'allégeance envers lui et la dévotion pour la vie de sacrifice. (8) Yahvé donna aussi à son peuple la jouissance d'un territoire bien défini avec des règles pour l'exploiter et, pour finir, (9) il choisit le Roi David pour conduire son peuple dans la voie de la justice et promis d'établir le royaume de David pour toujours. (2) La naissance de Jésus de Nazareth, descendant direct de David, à la tête d'un nouveau royaume, constitua l'ultime accomplissement de cette promesse.
La nature de Yahvé est déterminante pour les bibliothèques de même que les mots sont déterminants pour les bibliothèques. Les mots de la Bible sont porteur d'une force et d'un sens allant bien au-delà de l'usage courant qu'en fait la culture contemporaine. Yahvé parle et ce qui était jusque-là dépourvu d'existence se met à vivre. La parole de Dieu est un feu, elle martèle, plus affilée qu'une épée à double tranchant, capable de métamorphoser les vies ; elle est si puissante qu'elle exista dès l'origine des temps et prit forme humaine dans la bouche de Jésus. Envisager la Bible, selon une perspective biblique, implique de ne jamais sous-estimer le pouvoir du langage, l'usage des mots pour informer, instruire, apaiser ou couvaincre. L'auteur des Proverbes s'enthousiasma pour le potentiel des mots lorsqu'ils sont prononcés à propos. (4) Cependant, le Dieu des Israélites transcende la simple énonciation des mots en élaborant des pactes et en créant un système de lois. Ainsi, ses attributs président fondamentalement à la définition des idéaux de la pratique bibliothéconomique. Ils témoignent de la haute valeur attribuée aux mots, à la loi et à d'autres types de littératures qui, chargées d'expressivité, défient l'intelligence et remuent l'âme.

Antécédents bibliques à la pratique bibliothéconomiqueOn peut voir dans le fait que Yahvé désigne Adam pour nommer, et de cette façon, classer les animaux sur terre, des antécédents propres à la bibliothèque. La découverte du Livre de la Loi, qui avait été perdu et ignoré pendant des années, eut pour conséquence une réforme touchant à la fois la société et la religion sous le règne du Roi Josiah. L'Apôtre Paul, à la faible lumière d'une cellule de prison, lança un appel pour que les livres, les parchemins et la Bible elle-même (biblos en grec) devinssent une collection de livres, une bibliothèque d'ouvrages soigneusement sélectionnés, choisis et disposés sur la base de l'autorité et de la théologie. Etudier et produire des livres fatigue l'esprit, lire pour atteindre la connaissance et la sagesse, pour favoriser le développement spirituel et intellectuel, est cependant une injonction perpétuellement reprise. (5)

Jésus et le modèle du dévouementAu-delà de l'univers et de l'humanité, c'est à travers son fils Jésus, dont la vie rédemptrice devint un modèle de dévouement à autrui, que Yahvé se manifesta le plus puissamment. Deux passages du Nouveau Testament méritent plus spécialement attention. Le premier, écrit par l'Apôtre Paul et portant sur la nature fondamentale de Jésus, est en même temps crucial pour la vocation de la bibliothèque et la pratique bibliothéconomique. " Ne laissez aucune place à l'ambition personnelle et à la vanité mais estimez humblement les autres supérieurs à vous-mêmes. Veillez aux intérêts de tout un chacun et non aux vôtres seulement. Cultivez entre vous ce que vous trouvez en Jésus-Christ. Il était de condition divine ; pourtant, il ne prétendit pas à l'égalité avec Dieu mais s'anéantit lui-même, prenant la condition d'un esclave. Semblable aux hommes, partageant leur lot, il s'humilia lui-même , obéissant jusqu'à la mort, et la mort sur une croix! " (6)
Cet extrait définit l'idéal selon lequel vivre en chrétien, c'est vivre en serviteur, selon lequel toute personne dépend d'autrui et, dans cette dépendance, mène une vie au service d'autrui. Les individus appartiennent à Jésus et s'engagent eux-mêmes à le servir. Mais la nature humaine est telle que les croyants échouent dans leurs tentatives d'atteindre l'idéal. La force de l'appel du christianisme tient à l'idée que Jésus, le fils de Dieu, accorde la grâce ; sa vie et ses actes rachètent les fautes des hommes et des femmes.
Mettre de côté son ambition personnelle dans le but de considérer les autres comme supérieurs à soi est à l'origine d'un principe classique de développement des collections. Honorer et respecter autrui implique d'accorder une place aux idées qui s'opposent. L'idéal est de promouvoir sa propre opinion tout en écoutant celle d'autrui. Ceci suppose la constitution de collections des différents points de vue. Une vie fondée sur la foi devrait reposer sur la conviction que la conception chrétienne ne craint pas le défi et la comparaison sur le marché des idées et, en fait, invite à l'engagement. (7)
Enjoindre de veiller aux intérêts d'autrui, c'est enjoindre de servir. Suivre le modèle de Jésus, c'est suivre le modèle d'un vie passée à servir. La bibliothèque n'existe jamais pour elle-même ; elle existe pour servir les intérêts du plus grand nombre. Le concept de service est au coeur des débats sur la vocation sociale de la bibliothèque. Pour reprendre le mot d'un fameux philosophe, une bibliothèque qui ne serait pas fréquentée ne vaut pas la peine d'être construite. Si le lecteur n'était pas attiré par la collection de multiples volumes et de divers points de vue, le bibliothécaire n'aurait aucune vocation à assembler cette collection.
Un second passage rapporte ceci : " En même temps qu'il grandissait en taille, Jésus croissait en sagesse et en grâce devant Dieu et devant les hommes. " (8) Nous voyons ici le processus de développement. Jésus croissait sous des aspects essentiels à la construction d'un adulte mûr, actif et responsable. Il croissait en sagesse, ce qui n'est pas seulement acquérir la connaissance mais aussi interpréter et mettre en application son sens. Il croissait en grâce devant Dieu (sa relation spirituelle à son père) et en grâce devant les hommes (l'interaction avec les autres êtres humains). Aider à la croissance sous ces aspects, est à coup sûr une vocation de la bibliothèque. (Bien que ne faisant qu'une présentation des plus basiques de la théologie chrétienne, je suggère de possibles implications dans le développement des bibliothèques). Les bibliothèques existent, comme d'autres entités pédagogiques, pour aider à chercher, à s'informer, à lire, à apprendree, à grandir, à mûrir et à rendre l'humanité plus proche des expériences et humaine, et divine.

dimanche 17 août 2008

L'AMOUR!

L ' A m o u r

Quand je parlerais les langues des hommes et des anges, si je n'ai pas l'amour, je suis un airain qui résonne, ou une cymbale qui retentit.

Et quand j'aurais le don de prophétie, la science de tous les mystères et toute la connaissance, quand j'aurais même toute la foi pour transporter des montagnes,si je n'ai pas l'amour, je ne suis rien.

Et quand je distribuerais tous mes biens pour la nourriture des pauvres, quand je livrerais même mon corps pour être brûlé,si je n'ai pas l'amour cela ne me sert à rien.

L'amour est patient, il est plein de bonté ; l'amour n'est point envieux ; l'amour ne se vante point, il ne s'enfle point d'orgueil, il ne fait rien de malhonnête, il ne cherche point son intérêt, il ne s'irrite point, il ne soupçonne point le mal, il ne se réjouit point de l'injustice, mais il se réjouit de la vérité ; il excuse tout, il croit tout, il espère tout, il supporte tout.L'amour ne périt jamais.

I Corinthiens 13: 1-8a.

jeudi 24 juillet 2008

LA ROUTE DU SUCCES


La route du succès n'est pas droite.

Il y a une courbe appelée Chute,

Un rond-point appelé Confusion,

Des casse-vitesse appelés Amis,


Des feux-rouges appelés Ennemis,

Des voyants d'alarme appelés Famille.

Vous aurez des pannes appelées Job.

Mais, si vous avez des pièces de rechange appelées Détermination,

Un moteur appelé Persévérance,

Une assurance appelée Foi,

Un conducteur appelé Jésus,

Cette route vous fera arriver à un endroit appelé Succès!
(Petit message du net)

mercredi 9 juillet 2008

Mes petits textes pour vous!



La Joie

Chaleur réconfortante délicieux sentiment,
Mon âme sereine vibre continuellement,
Emotion palpable mon cœur bat la chamade,
Flux ardent d’amour mon être rayonne,
Comme les rayons du soleil à son zénith.
La magnificence d’un arc en ciel au firmament,
Un ravissement perpétuel génère en moi.
Tout cela me révèle cette absolue vérité,
Cette joie qui m’anime est la confirmation,
Qu’une force positive plane sur le monde.
Le malheur a été fait en pendant du bonheur,
L’homme intelligent le réalise à chaque instant.
Aussi, rien ne peut venir éteindre ma joie,
Puisque je sais ; ce qui survient est déjà écrit.
Nicolette


Tel un éphémère,

Je vais au vent, au gré du vent, depuis la nuit des temps,
Ma vie incessante balade, je vole, je virevolte, un pétale de rose, une feuille morte, un pollen cherchant sa bien aimée afin de féconder.
Oui ! Ma vie est belle, elle est balade et escapade, je tourbillonne encore et encore, jusqu’à ce que je redevienne, ce que je fus toujours dans le sillage de mes ancêtres, une minuscule poussière d’étoile.
Nicolette



LE TEMPS

Toi qui passe et que rien n'arrête...
Ton rythme effréné est déconcertant,
Ton éphéméride virtuelle tourne sans fin,
Jour, nuit, année, siècle rien ne te retient.

Tu poursuis ton chemin sans vaciller...
Immuable et absolu tu contemples le monde!
Cet éphémère qui prétend suffire à lui-même.
Pour toi cette humanité n'est qu'une chimère.

Ainsi, tu passes et l'homme trépasse...
Le monde vit au rythme de tes saisons,
Sans pour autant chercher sa vraie raison,
Le sens exact de toute existence en somme!

Dans ton sillage une peuplade d'âmes grises...
Le mouvement de ton tic tac est celui de l'éternité!
Comme toujours, va le temps comme tu l'entends,
Virevolte au gré du vent, à ton rythme en somme.
Nicolette





La mort!

Ton nom est effrayant, tu n'y peux rien!
Tu es le chemin, l'acheminement!
Tu es toujours au rendez-vous!
Des fois tu viens trop tôt, mais c'est comme ça!
Tu peux être douce, mais féroce aussi!
Tu es la délivrance pour ceux qui souffrent!
Tu es Le châtiment des vaniteux!
Oui! tu es là pour nous remettre à notre place!
Car ton rôle c'est de nous ramener à la réalité![/b]
Nicolette




Seigneur,

Toi qui es venu irradié la terre d’un amour infini,
Le mal s’acharne à engloutir ce sentiment un peu plus chaque jour,
Les biens de mère nature ont rendu les hommes fous !
Ils détournent ses richesses à des fins politiques,
Ils se remplissent les poches et affament les peuples,
Notre pain quotidien nous tue à petit feu,
Tous ce que nous mangeons nous empoisonnent,
La terre, la mer, les rivières, l’air que nous respirons, tout est pollué !
Les fruits, les légumes, la viande, le poisson tout est intoxiqué,
Quelque foi la nature se révolte, alors elle emporte tout sur son passage,
Mais qu’importe rien n’arrête l’homme dans sa quête,
Les enfants sont déracinés, ils grandissent sans amour dans un monde sans foi ni loi,
Nous sommes impuissants, désarmés, nous t’implorons!
Nicolette

vendredi 13 juin 2008

samedi 7 juin 2008

vendredi 30 mai 2008

samedi 10 mai 2008

LE CONSOLATEUR!

L'ESPRIT SAINT!


La Pentecôte des Apôtres du Seigneur!

Qu'il est bon de rester calme!

Psaumes
Psaume 37
De David. ALEPH. Ne t'irrite pas au sujet des méchants; ne porte pas envie à ceux qui font le mal.
Car, comme l'herbe, ils seront vite coupés; comme la verdure du gazon, ils se dessècheront. BETH.
Mets ta confiance en Yahweh, et fais le bien; habite le pays, et jouis de sa fidélité.
Fais de Yahweh tes délices, et il te donnera ce que ton coeur désire. GHIMEL.
Remets ton sort à Yahweh et confie-toi en lui: il agira:
il fera resplendir ta justice comme la lumière, et ton droit comme le soleil à son midi DALETH.
Tiens-toi en silence devant Yahweh, et espère en lui; ne t'irrite pas au sujet de celui qui prospère dans ses voies; de l'homme qui réussit en ses intrigues. HE.
Laisse la colère, abandonne la fureur; ne t'irrite pas, pour n'aboutir qu'au mal.
Car les méchants seront retranchés, mais ceux qui espèrent en Yahweh posséderont le pays. VAV.
Encore un peu de temps, et le méchant n'est plus; tu regardes sa place, et il a disparu.
Mais les doux posséderont la terre, ils goûteront les délices d'une paix profonde. ZAÏN.
Le méchant forme des projets contre le juste, il grince les dents contre lui.
Le Seigneur se rit du méchant, car il voit que son jour arrive. HETH.
Les méchants tirent le glaive, ils bandent leur arc; pour abattre le malheureux et le pauvre, pour égorger ceux dont la voie est droite.
Leur glaive entrera dans leur propre coeur, et leurs arcs se briseront. TETH.
Mieux vaut le peu du juste, que l'abondance de nombreux méchants;
car les bras des méchants seront brisés, et Yahweh soutient les justes. YOD.
Yahweh connaît les jours des hommes intègres, et leur héritage dure à jamais.
Ils ne sont pas confondus au jour du malheur, et ils sont rassasiés aux jours de la famine. CAPH.
Car les méchants périssent; les ennemis de Yahweh sont comme la gloire des prairies; ils s'évanouissent en fumée, ils s'évanouissent. LAMED.
Le méchant emprunte, et il ne rend pas; Le juste est compatissant, et il donne.
Car ceux que bénit Yahweh possèdent le pays, et ceux qu'il maudit sont retranchés. MEM.
Yahweh affermit les pas de l'homme Juste, et il prend plaisir à sa voie.
S'il tomhe, il n'est pas étendu par terre, car Yahweh soutient sa main. NUN.
J'ai été jeune, me voilà vieux, et je n'ai point vu le juste abandonné; ni sa postérité mendiant son pain.
Toujours il est compatissant, et il prête; et sa postérité est en bénédiction. SAMECH.
Détourne-toi du mal et fais le bien; et habite à jamais ta demeure.
Car Yahweh aime la justice, et il n'abandonne pas ses fidèles. Ils sont toujours sous sa garde, mais la postérité des méchants sera retranchée.
Les justes posséderont le pays, et ils y habiteront à jamais. PHÉ.
La bouche du juste annonce la sagesse, et sa langue proclame la justice.
La loi de son Dieu est dans son coeur; ses pas ne chancellent point. TSADÉ. Le méchant épie le juste, et il cherche à le faire mourir. Yahweh ne 1'abandonne pas entre ses mains, et il ne le condamne pas quand vient son jugement. QOPH. Attends Yahweh et garde sa voie; et i
t'élèvera et tu posséderas le pays; quand les méchants seront retranchés, tu le verras. RESCH.
J'ai vu l'impie au comble de la puissance; il s'étendait comme un arbre verdoyant.
J'ai passé, et voici qu'il n'était plus; je l'ai cherché, et on ne l'a plus trouvé. SCHlN.
Observe celui qui est intègre, et regarde celui qui est droit; car il y a une postérité pour l'homme de paix.
Mais les rebelles seront tous anéantis, la postérité des méchants sera retranchée. THAV.
De Yahweh vient le salut des justes; il est leur protecteur au temps de la détresse.
Yahweh leur vient en aide et les délivre; il les délivre des méchants et les

mardi 15 avril 2008

dimanche 13 avril 2008

Saint Augustin: les confessions



On connaît bien la vie d'Augustin d'Hippone : très nombreuses sont les biographies qui ont été écrites de lui, facilitées - il faut bien le dire - par ce que lui-même nous a dit de lui à travers Les Confessions, rédigées vraisemblablement entre 397 et 400, oeuvre universellement connue :

Bien tard, je t'ai aimée, ô beauté si ancienne et si nouvelle, bien tard, je t'ai aimée !
Et voici que tu étais au-dedans, et moi au-dehors,et c'est là que je te cherchais, et sur la grâce de ces choses que tu as faites, pauvre disgracié, je me ruais !Tu étais avec moi et je n'étais pas avec toi ;elles me retenaient loin de toi, ces choses qui pourtant,si elles n'existaient pas en toi, n'existeraient pas !
Tu as appelé, tu as crié et tu as brisé ma surdité ;tu as brillé, tu as resplendi et tu as dissipé ma cécité ;tu as embaumé, j'ai respiré et haletant j'aspire à toi ;j'ai goûté, et j'ai faim et j'ai soif ;tu m'as touché et je me suis enflammé pour ta paix.[...](Conf. X, xxvii, 38)

Effectivement, Augustin connaît d'abord une jeunesse dissipée, dispersée entre toutes sortes de plaisirs (Augustin rappellera à maintes reprises son attrait pour les femmes, les honneurs...). Toutefois, il est animé par un grande inquiétude intellectuelle et psychologique, a de nombreuses curiosités philosophiques et linguistiques (il a embrasé la profession de "rhéteur). Augustin verra dans toute cette période de sa vie en germe déjà une recherche de Dieu qui va d'ailleurs se préciser à travers la lecture des philosophes et son grand intérêt pour les philosophies (Augustin est un grand lecteur de Cicéron, puis il découvre Plotin et les néo-platoniciens...), son souci et son attrait pour la religion et les croyances (comme par exemple le manichéisme qui le tenta un certain temps). Finalement, après avoir rejoint l'Italie, Rome en 383 puis surtout Milan où il va s'installer plus durablement) pour des raisons professionnelles (découragement face aux étudiants de Carthage qu'il juge peu intéressants), Augustin découvre la prédication de l'évêque du lieu, Ambroise, qui accepte de répondre à toutes les interrogations d'Augustin au cours de longs entretiens. Bien des événements personnels sont relatés également par Augustin dans les Confessions qui ont certainement contribué à son "retournement". Augustin, catéchumène depuis
son enfance (1) va finalement se convertir radicalement et demander le baptême en 387(2).

Prière :"ô douceur qui ne trompe pas,ô douceur de bonheur et de sécurité,toi qui me rassembles de la dispersion,où sans fruit je me suis éparpillé,quand je me suis détourné de toi, l'Unique,pour me perdre dans le multiple."(Conf., II, i, 1, BA t. 13, p. 333).

"... ballotté, dispersé, je me dissolvais, je bouillonnais à travers mes fornications et tu te taisais.O ma joie lente à venir ! Tu te taisais alors, et moi je m'en allais, loin de toi, vers encore et encore d'autres stériles semailles de douleur, dans une orgueilleuse abjection et une inquiète lassitude." (Conf., II, ii, 2, id. p. 335).

Augustin comprend que si l'homme désire les créatures, c'est le créateur qui s'offre à son désir :

"... Dieu vous disant : Demandez ce que vous désirez, qu'allez-vous lui demander ? Faites effort de tout votre esprit, lâchez la bride à votre avarice, étendez, élargissez votre convoitise, autant que vous le pourrez ; car ce n'est pas le premier venu, c'est le Dieu Tout-Puissant qui vous dit : demandez ce que vous désirez. Si vous aimez des propriétés, vous désirerez toute la terre, de sorte que tous ceux qui naîtront soient vos fermiers ou vos serviteurs. Et que ferez-vous, lorsque vous posséderez toute la terre ? Vous demanderez la mer, bien que vous ne puissiez y vivre. Dans ce genre d'avarice, les poissons seront mieux partagés que vous ; à moins que vous ne possédiez aussi les îles de la mer. Mais passez outre, demandez encore le domaine des airs, quoique vous ne puissiez pas voler. Etendez vos désirs jusqu'au ciel ; dites que le soleil, la lune et les étoiles vous appartiennent, parce que celui qui a fait toutes ces choses vous a dit : demandez ce que vous désirez. Cependant, vous ne trouverez rien qui ait plus de prix, vous ne trouverez rien qui soit meilleur que celui qui a fait toutes ces choses. Demandez donc celui qui les a faites, et en lui et par lui vous posséderez tout ce qu'il a fait. Toutes ces choses sont d'un haut prix, parce que toutes sont belles, mais qu'y a-t-il de plus beau que lui ? Elles sont fortes, mais qu'y a-t-il de plus fort que lui ? Et il n'est rien qu'il donne plus volontiers que lui-même. Si vous trouvez quelque chose de meilleur, demandez-le. Si vous demandez autre chose, vous lui ferez injure, et vous vous ferez tort à vous même, en lui préférant sa créature, alors que le créateur aspire à se donner lui-même à vous." (Enarr. Ps. 34, 12 (premier discours)).

Beaucoup d'événements ont préparé la conversion d'Augustin : notamment sa rencontre, déjà signalée, avec Ambroise (Evêque de Milan) dont il va suivre les enseignements, découvrant ainsi comment on doit lire la Bible : non pas de façon littérale, mais en dégageant le sens qui permet de s'approcher de Dieu à travers sa Parole.

Mais des amis vont aussi jouer un rôle important dans cette conversion (on pense à Alypius) ; certains vont lui faire découvir le choix radical de St Antoine et sa vocation de moine au désert...

Augustin va découvrir comment Dieu le cherchait, au sein même de son péché :

"Sans doute ne savent-ils pas que tu es partout,toi qu'aucun lieu ne circonscrit,et que seul tu es présentmême à ceux qui se mettent loin de toi.Qu'ils se convertissent donc et qu'ils te cherchent !Tu n'es pas comme eux : ils ont abandonné leur créateur,mais toi tu n'as pas ainsi abandonné ta créature.Qu'eux-mêmes se convertissent, et voici que tu es làdans leur coeur, dans le coeur de ceux qui te confessentet se jettent en toi et pleurent dans ton seinau bout de leurs routes inclémentes.

Et toi, dans ta clémence, tu essuies leurs larmes ;ils pleurent davantage et se réjouissent dans leurs pleurspuisque toi, Seigneur, non quelque homme, chair et sang,mais toi, Seigneur, qui les as faits, tu les refais et les consoles.Où étais-je, moi, quand je te cherchais ?Toi, tu étais devant moi ; mais moi,j'étais parti loin de moi, et ne trouvais plus moi-même,moins encore, oh combien ! toi-même."(Conf. V, ii, 2)

Augustin nous rapporte l'épisode décisif, alors qu'il médite sur la continence, et ce choix de vie qui lui apparaît comme si difficile :

... dès que ma profonde méditation eut tiré du fond de ses retraites toute ma misère, et l'eut entassée sous les regards de mon coeur, il se leva une grosse tempête, chargée d'une grosse pluie de larmes. Et pour laisser cerever l'orage tout entier avec ses fracas, je me levai et m'écartai d'Alypius. LA solitude s'offrait à moi comme un endroit plus propice au travail des larmes. Je me retirai assez loin ; ainsi même la présence d'Alypius ne pourrait pas m'être à charge.Tel était alors mon état. Il le comprit : oui, sans doute, j'avais dit je ne sais quoi d'un ton de voix qui paraissait déjà gros de larmes, et c'est alors que je m'étais levé. Lui demeura donc à l'endroit où nous étions assis ; il était au comble de la stupeur.Moi je m'abattis, je ne sais comment, sous un figuier ; je lâchai les rênes à mes larmes, et elles jaillirent à grands flots de mes yeux, sacrifice qui te fut agréable [Augustin, dans les Confessions s'adresse à Dieu] ; et - je ne garantis pas les termes mais c'est le sens - je te dis sans retenue : Et toi, Seigneur, jusques à quand ? Jusques à quand, Seigneur, iras-tu au bout de ta colère ? Ne garde pas mémoire de nos vieilles iniquités. De fait, je sentais que c'étaient elles qui me retenaient. Je jetais des cris pitoyables : "Dans combien de temps ? Dans combien de temps ? Demain, toujours demain. Pourquoi pas tout de suite ? Pourquoi pas, sur l'heure, en finir avec mes turpitudes ?"

Je disais cela, et je pleurais dans la profonde amertume de mon coeur brisé.Et voici que j'entends une voix, venant d'une maison voisine ; on disait en chantant et l'on répétait fréquemment avec une voix comme celle d'un garçon ou d'une fille, je ne sais : "Prends, lis ! Prends lis !" ["tolle lege" en latin -

ce qui fait que l'on désigne souvent ce passage de la conversion d'Augustin en référence au "tolle lege"].

A l'instant, j'ai changé de visage et, l'esprit tendu, je me suis mis à rechercher si les enfants utilisaient d'habitude dans tel ou tel genre de jeu une ritournelle semblable ; non, aucun souvenir ne me revenait d'avoir entendu cela quelque part. J'ai refoulé l'assaut de mes larmes et me suis levé, ne voyant plus là qu'un ordre divin qui m'enjoignait d'ouvrir le livre, et de lire ce que je trouverais au premier chapitre venu.

J'avais entendu dire en effet à propos d'Antoine [St Antoine, considéré comme l'un des Pères du monachisme, monachisme qu'il pratiquait dans le désert] qu'il avait tiré de la lecture de l'Evangile, pendant laquelle il était survenu par hasard, un avertissement personnel, comme si on disait pour lui ce qu'on lisait :

Va, vends tout ce que tu possèdes, donne-le aux pauvres, et tu auras un trésor dans les cieux ; et viens, suis-moi. Un tel oracle l'avait aussitôt amené vers toi, converti.
Aussi, en toute hâte, je revins à l'endroit où Alypius était assis ; oui, c'était là que j'avais posé le livre de l'Apôtre [Paul] tout à l'heure, en me levant. Je le saisis, l'ouvris et lus en silence le premier chapitre où se jetèrent mes yeux : Non, pas de ripailles et de soûleries ; non, pas de coucheries et d'impudicités ; non, pas de disputes et de jalousies ; mais revêtez-vous du Seigneur Jésus-Christ, et ne vous faites pas les pourvoyeurs de la chair dans les convoitises. [Rm 13, 13 et sq].

Je ne voulus pas en lire plus, ce n'était pas nécessaire. A l'instant même, en effet, avec les derniers mots de cette pensée, ce fut comme une lumière de sécurité déversée dans mon coeur, et toutes les ténèbres de l'hésitation se dissipèrent.
Alors, j'intercalai le doigt, ou je ne sais quel autre signe, dans le livre que je fermai ; puis le visage désormais paisible, je mis Alypius au courant. Mais lui, révélant ce qui se passait en lui-même et que j'aignorais, me l'indiqua ainsi. Il demanda à voir ce que j'avais lu ; je le lui montrai ; et il porta son attention au-delà même de ce que moi j'avais lu. J'ignorais la suite du texte ; or la suite disait : Mais celui qui est faible dans la foi, accueillez-le. Alypius se l'appliqua à lui-même et me le fit savoir. En tout cas, un tel avertissement l'affermit et, adoptant un dessein et une résolution de vertu tout à fait conformes à ses moeurs par lesquelles dans la voie du bien, il me distançait déjà depuis longtemps et de fort loin, sans un trouble, sans une hésitation, il se joignit à moi.De là, nous allons chez ma mère, nous entrons, nous l'informons : elle est en joie. Nous lui racontons comment cela s'est passé ; elle exulte et triomphe. Et elle te bénissait, toi qui possèdes la puissance de réaliser au-delà de ce que nous demandons et pouvons comprendre, car elle se voyait accorder, à elle, par toi, en moi, bien plus que ce qu'elle demandait dans ses prières habituelles par des larmes et des gémissements pitoyables.Tu me convertis, en effet, si bien à toi, que je ne recherchais plus ni épouse, ni rien de ce qu'on espère dans ce siècle ; j'étais debout sur la règle de la foi, comme tu le lui avais révélé tant d'années auparavant. Et tu convertis son deuil en joie, une joie beaucoup plus abondante qu'elle ne l'avait désirée, beaucoup plus attachante et plus chaste que celle qu'elle attendait de petits enfants nés de ma chair." (Conf., VIII, xii 28-30)

Peu de temps après son baptême, reçu en même temps que son fils Adéodat et qu'Alypius,, la nuit de Pâques 387, Augustin repart pour l'Afrique et Thagaste, sa ville natale (en 388) ; il groupe en une communauté de prière et d'étude ("communauté monastique" avant la lettre) quelques-uns de ses meilleurs amis (Evodius, Alypius, mais également son fils Adéodat...) pour marcher ensemble dans une voie de perfection. Or l'évêque de la région, Valère, était vieillissant, peu à l'aise avec le latin ; il ordonne Augustin prêtre en 391, presque malgré lui, et le charge de la prédication. Finalement Augustin succèdera à Valère peu après (si la date de l'ordination épiscopale d'Augustin n'est pas exactement connue, on sait qu'il est évêque en 397, puisqu'il signe comme tel les Actes du IIIe Concile de Carthage : il a donc dû succéder effectivement à Valère, dont il était le "coadjuteur", vers la fin de 396).

mardi 8 avril 2008

Question sur l'existence de Dieu



Un homme est allé chez un coiffeur pour couper ses cheveux et sa barbe.L'homme et le coiffeur ont commencé à parler.Ils ont parlé de tant de choses et de divers sujets.Quand ils ont par la suite touché au sujet de Dieu, le coiffeur dit : -Je ne crois pas que Dieu existe. -Pourquoi vous dites ça? a demandé le client. -Bon, vous devez juste sortir dans la rue pour vous rendre compte que Dieu n'existe pas. Est-ce que, si Dieu existait, y- aurait 'il tant de personnes malades? Y aurait-il des enfants abandonnés ? Si Dieu existait, on ne souffrirait pas de douleur. Je ne peux pas m'imaginer aimer un Dieu qui permettrait tous ça.Le client a pensé pendant un moment, mais n'a pas répondu parce qu'il n'a pas d'argument.Le coiffeur a fini son travail et le client sort du magasin.Juste après, il voit un homme dans la rue avec des cheveux longs, visqueux,sales. Il semble très sale.Le client revient et entre dans le magasin du coiffeur encore et il dit au coiffeur : -Tu sais quoi ? Les coiffeurs n'existent pas. -Comment pouvez vous dire ça ? a demandé le coiffeur étonné. Je suis là et je suis un coiffeur et je viens de vous couper les cheveux. -Non ! hurle le client. Les coiffeurs n'existent pas ; parce que s'ils existaient, il n'y aurait personne avec de longs cheveux sales comme cet homme qui est dehors. -Ah, mais les coiffeurs existent ! Ce qui se produit, c'est que ces gens ne viennent pas à moi. -Exactement ! affirme le client. C'est bien ça ! Dieu, aussi, existe ! Ce qui se produit, c'est que les gens ne vont pas chez lui et ne le recherchent pas. C'est pourquoi il y a tellement de douleur et de souffrance dans ce monde.
diffusé sur internet

dimanche 23 mars 2008

LA RESURRECTION!



OUI! CHRIST EST RESSUSCITE!

vendredi 21 mars 2008

Christ Le prix de notre salut!



Aujourd'hui la haine semble dominer le monde, mais l'Amour vaincra, car il est plus fort que tout!

Christ Notre Rédompteur!

dimanche 2 mars 2008

Rester dans la Lumière


Il nous est difficile de rester dans la lumière, car nous luttons sans cesse contre notre côté sombre.

Et ce perpétuel combat contre nos faiblesses, nos mauvaises pensées, nos actes méprisables, nos comportements détestables, même notre propre langue qui nous permet de parler peut être quelques fois notre pire ennemie.

Lorsque sans aucun scrupule nous agissons dans l'ombre, nous pensons toujours que nos actes seront ignorés de tous.

Rien ne se fait vraiment à l'abri de la lumière, car tôt ou tard tout acte répréhensible sera mis au grand jour ici-bas ou ailleurs. Ainsi, chacun se trouvera face à son destin!

En effet, nos faiblesses nous poussent chaque jour un peu plus dans les ténèbres. Et notre comportement devant les agissements de nos proches, de nos amis, de nos collègues, est le texte de conduite de notre humanité!

Pourquoi l'homme est si faible devant l'abvercité, devant le jugement des autres, pourquoi tant de mauvaise fois, tant de faux semblants?

Aussi, un seul sourire de notre part devant toute mauvaise action qui se fait en notre présence, nous rend complice de ces actes.

Nous avons tous une flamme au fond de notre coeur, protégeons-la, attisons là afin que notre vie soit toujours dans la lumière.

Refusons ces ténèbres qui assombrissent un peu plus chaque jour notre vie. Acceptons de raviver le feu de l'amour, celui qui nourrit notre âme.

A chaque fois que nous nous écartons de notre véritable nature, l'amour, l'énergie, la sève de notre existence se tarit inéluctablement.

Notre lumière spirituelle est comme le soleil, aucune ombre n'arrive à l'eteindre, parce que ses rayons reflètent la lumière divine!

mardi 26 février 2008

Le plus Grand Homme de tous les temps.


C'est bien lui !!!

Le plus Grand Homme de tous les temps.
Le plus grand Homme dans l'histoire, Jésus, n'a eu aucun domestique,
Pourtant ils l'ont appelé Maître ;
N'a eu aucun diplôme, pourtant ils l'ont appelé ;Professeur ;
N'avait aucun médicament, pourtant ils l'ont appelé Guérisseur.
Il n'a eu aucune armée, pourtant les rois l'ont craint.
Il n'a gagné aucune bataille militaire, pourtant il a conquis le monde.
Il n'a commis aucun crime, pourtant ils l'ont crucifié.
Il a été enterré dans un tombeau, pourtant il vit aujourd'hui.
Je me sens honorée pour servir un tel Chef qui nous aime !
Rappelez-vous juste ce que Jésus a dit : "Si vous me niez devant l'homme, je vous nierai devant mon Père dans le ciel."

vendredi 22 février 2008

Question au Dalaï Lama?




"Qu'est ce qui vous surprend le plus dans l'humanité ? "

Il a répondu :

"Les hommes... parce qu'ils perdent la santé pour accumuler de l'argent, ensuite ils perdent de l'argent pour retrouver la santé... et à penser anxieusement au futur, ils oublient le présent de telle sorte qu'ils finissent par ne vivre ni le présent ni le futur ... ils vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir et meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu."

jeudi 21 février 2008

Recommence!



Recommence!
Si tu es las et que la route te parait longue,
Si tu t'aperçois que tu t'es trompé de chemin,
Ne te laisse pas couler au fil des jours et du temps!

Recommence!
Si la vie te semble trop absurde,
Si tu es déçu par trop de choses et trop de gens,
Ne cherche pas à comprendre pourquoi...

Recommence!

Si tu as essayé d'aimer et d'être utile,
Si tu as connu la pauvreté et les limites,
Ne laisse pas là une tache à moitié faite.

Recommence!
Si les autres te regardent avec reproche,
S'ils sont déçus par toi, irrités,
Ne te révolte pas, ne leur demande rien.

Recommence!
Car l'arbre re-bourgeonne en oubliant l'hiver,
Car le rameau fleurit sans demander pourquoi,
Car l'oiseau fait sont nid sans songer à l'automne,
Car la vie est espoir et recommencement!
(Anonyme)

vendredi 15 février 2008

Le roman de mon ami Jacky Blandeau

J'ai beaucoup aimé ce roman!



Patrick est un conseiller juridique, dont l'existence a, jusqu'alors, été gouvernée par une intelligence exceptionnelle. Pendant toute sa jeunesse, ses parents se sont attachés à lui proposer leurs propres choix de vie, toujours calqués sur le QI sur-développé du gamin, sans jamais tenir compte des aspirations et des envies de l'enfant lui-même. A 43 ans, menant une vie monotone qu'il n'a pas choisie, son esprit est resté attaché à une vieille croix de pierre perchée sur une colline d'Auvergne, suite à un drame survenu au cours de son adolescence. La disparition programmée de ce monument, ainsi que son amour pour une petite grand-mère, va insidieusement bouleverser son esprit, et révéler à Patrick le démon qui se cache en lui...

Très émouvant!


Un jour, une prof demande à ses élèves de noter le nom de tous les élèves de la classe sur une copie et de laisser un peu de place à côté de chaque nom. Puis, elle leur dit de penser à ce qu'ils pouvaient dire de plus gentil au sujet de chaque camarade et de le noter à côté du nom. Cela pris toute une heure jusqu'à ce que tous aient fini et avant de quitter la salle de classe, les élèves remirent leur copie à la prof.

Le week-end, la prof écrivit le nom de chaque élève sur une feuille et à côté toutes les remarques gentilles que les autres avaient écrit à son sujet.

Le lundi, elle donna à chaque élève sa liste.

Déjà peu de temps après, tous souriaient.«Vraiment?» entendait-on chuchoter...
«Je ne savais pas que j'avais de l'importance pour quelqu'un !» et «Je ne savais pas que les autres m'aiment tant» étaient les commentaires que l'on entendait dans la salle de classe...

Personne ne parla plus jamais des listes. La prof ne savait pas si les élèves en avaient parlé entre eux ou avec leurs parents, mais cela n'avait pas d'importance. L'exercice avait rempli sa fonction.
Les élèves étaient satisfaits d'eux-mêmes et des autres.

Quelques années plus tard, un élève était mort au Vietnam et la prof alla à l'enterrement de cet élève.
L'église était comble. Beaucoup d'amis étaient là. L'un après l'autre s'approcha du cercueil pour lui adresser un dernier adieu. La prof alla en dernière et elle trembla devant le cercueil.
Un des soldats présents lui demanda «Est-ce que vous étiez la prof de maths de Mark?» Elle hocha latête: «Oui». Alors il lui dit:' Mark a souvent parlé de vous».

Après l'enterrement, la plupart des amis de Mark s'étaient réunis. Les parents de Mark étaient aussi là et ils attendaient impatiemment depouvoir parler à la prof.

«Nous voulions vous montrer quelque chose» dit le père de Mark et sortit son portefeuille de sa poche. «On a trouvé cela quand Mark est tombé. Nous pensions que vous le reconnaîtriez.»
Il sortit du portefeuille un papier très usé qui avait dû être recollé, déplié et replié très souvent.

Sans le regarder, la prof savait que c'était l'une des feuilles contenant beaucoup de gentilles remarques écrites à l'époque par les camarades de classe au sujet de Mark.

«Nous aimerions vous remercier pour ce que vous avez fait.» dit la mère deMark
«Comme vous pouvez le constater, Mark a beaucoup apprécié ce geste.

Tous les anciens élèves se réunirent autour de la prof. Charlie sourit et dit: 'J'ai encore ma liste. Elle se trouve dans le premier tiroir de mon bureau.

La femme de Chuck dit: «Chuck m'a prié de la coller dans notre album de mariage.»
«Moi aussi, j'ai encore la mienne, » dit Marilyn « Elle est dans monjournal intime»
Puis, Vicky, une autre élève, prit son agenda et montra sa liste toute usée aux autres personnes présentes.» Je l'ai toujours avec moi,» dit Vicky et elle ajouta: 'Nous l'avons tous gardée.

La prof était si émue qu'elle dut s'asseoir et elle pleura. Elle pleurait pour Mark et pour tous ses amis qui ne le reverraient plus jamais.

Dans le quotidien avec les autres, nous oublions trop souvent que toute vie s'arrête un jour et que nous ne savons pas quand ce jour arrivera.

C'est pourquoi, il est important de dire aux personnes, que l'on aime et qui nous sont importantes, qu'elles sont particulières et importantes..Dis le leur avant qu'il ne soit trop tard.

Quelle belle allégorie!


Allégorie de la grenouille!

Il était une fois une course de grenouilles dont l'objectif était d'arriver en haut d'une grande tour.
Beaucoup de gens se rassemblèrent pour les voir et les soutenir.
La course commença.En fait, les gens ne croyaient probablement pas possible que les grenouilles atteignent la cime, et toutes les phrases que l'on entendit furent de ce genre :
"Quelle peine!!!Elles n'y arriveront jamais!"
Les grenouilles commencèrent à se résigner, sauf une qui continua de grimper.
Les gens continuaient :
"...Quelle peine!!!Elles n'y arriveront jamais!.."
Et les grenouilles s'avouèrent vaincues, sauf toujours la même grenouille qui continuait à insister.
A la fin, toutes se désistèrent, sauf cette grenouille qui, seule et après un énorme effort, rejoignit le haut de la cime.
Les autres voulurent savoir comment elle avait fait et l'une d'entre elles s'approcha pour lui demander comment elle avait fait pour terminer l'épreuve.
Et découvrit qu'elle .....était sourde!

Hymne à l'amitié!



C'est l'histoire de deux amis qui marchaient dans le désert.
A un moment, ils se disputèrent et l'un des deux donna une gifle à l'autre.
Ce dernier, endolori mais sans rien dire, écrivit dans le sable:
« Aujourd'hui mon meilleur ami m'a donné une gifle ».
Ils continuèrent à marcher puis trouvèrent un oasis, dans lequel ils décidèrent de se baigner.Mais celui qui avait été giflé manqua de se noyer et son ami le sauva.
Quand il se fut repris, il écrivit sur une pierre :
« Aujourd'hui mon meilleur ami m'a sauvé la vie. » Celui qui avait donné la gifle et avait sauvé son ami lui demanda :
« Quand je t'ai blessé tu as écrit sur le sable, et maintenant tu as écrit sur la pierre. Pourquoi ? » L'autre ami répondit:
« Quand un ami nous blesse, nous devons l'écrire dans le sable, où les vents du pardon peuvent l'effacer.
Mais quand un ami fait quelque chose de bien pour nous, nous devons le graver dans la pierre, où aucun vent ne peut l'effacer ».
Apprends à écrire tes blessures dans le sable et à graver tes joies dans la pierre.
(Auteur anonyme)

mercredi 6 février 2008

Laïcité!



Ce mot me fait bien rire!

Les français sont assis sur leurs acquis, ils crient à tout va laïcité! laïcité!

( Je vote pour la suppression des jours de fêtes religieuses!

1) Lundi de Pâques!

2) Lundi de la Pentecôte!

3) Jeudi de l'Ascension!

4) le 15 Août l'Assomption!

5) le 1 Novembre la fête de tous les Saints!

6) le 25 Décembre le jour présumé de la naissance de Jésus!


C'est juste pour entendre les protestations de nos chers laïcs! )

Tous souhaitent qu'une chose, le bonheur, le bonheur et encore le bonheur. Mais que font-ils vraiment pour mériter cette joie de vivre, cette sérénité, cette vie sans jamais appréhender les funestes présages.

Ce monde d'égoïstes est sans pitié, les hommes ne pensent qu'à leur petite personne. Et c'est partout pareil, lorsque ça va bien tout le monde est là, mais lorsque ça va mal, il n'y a plus personne.

Ce grand théatre qu'est devenu le monde est tout simplement déconcertant. Il est de plus en plus de mauvaise foi, et ce jeu dangereux auquel il joue se retournera contre lui, cette réalité est palpable.

On ne peut pas étouffer sa propre nature, on aura beau essayer de vivre sans foi ni loi, on sera toujours interpellé par sa conscience.

Lorsque l'on se retrouve seul avec soi même, notre esprit nous interpelle. C'est quelque chose d'inévitable, parce que c'est notre âme, c'est notre humanité, notre lien avec notre Créateur.


Il n'y aura rien de nouveau sous le soleil, si non ce que désire le Créateur du monde. Toutes réflexions, toute philosophie, toutes les délibérations des hommes de sciences n'arriveront pas à changer la vision de ce monde au yeux de notre Seigneur. C'est Lui l'Alpha et l'Oméga!

jeudi 24 janvier 2008

La Vie! La Vraie!


Ce souffle infime et précaire, ce fil fragile de notre existence.
Qui peu l'évaluer à par Celui qui l'a créée de toutes pièces?
Restons terre à terre et regardons un peu notre fonctionnement!
Si on reste quelques jours sans aller aux toilettes le mécanisme se dérègle et risque de s'éteindre!
Si on reste quelques jours sans manger, c'est pareil!
Si on ne se sent pas aimé par ses proches on n'est pas bien!
Si on n'a pas de considération dans son travail, on est mal à l'aise!
Si on est sans famille, sans attache on a peur de finir sa vie tout seul!
Si on est mal dans sa peau on se sent perdu, alors on se développe une névrose!
Notre esprit est fondamentalement mystique!
A la naissance le bébé demande beaucoup d'attention et d'affection!
S'il n'en reçoit pas, son développement mental est compromis par une grande variété de perturbations!
La vie c'est de donner de l'amour, donner de l'attention, prendre soin de soi, de son prochain, se prendre en considération, ne jamais se dénigrer.
Alors, pourquoi tant de bêtise, pourquoi tant de méchanceté, pourquoi tant de suffisance chez cet être si fragile?
Beaucoup en sont arrivés à se prendre pour Dieu, quelle illusion!
S'ils sont Dieu alors pourquoi tant d'impuissance devant les choses de la vie?
L'homme a oublié son Créateur, quelle tristesse pour lui!
La vie de l'homme est tellement précieuse aux yeux de Celui qui l'a créée!


(L'Amour
L’amour est le principe qui crée et soutient les relations humaines avec profondeur et dignité. L’amour spirituel transporte l’être dans un silence qui a le pouvoir d’unir, de guider et de libérer les êtres. L’amour est la véritable source d’égalité. L’amour est le catalyseur du changement, du développement et de la réussite.L'amour n’est pas simplement un désir, une passion, un sentiment intense envers une personne ou un objet, mais un niveau de conscience à la fois altruiste et riche en réalisation personnelle. L’amour peut avoir pour objet un but spécifique, la vérité, la justice, l’éthique, les êtres humains, la nature, le service des autres, Dieu. L’amour découle de la vérité, c’est-à-dire de la sagesse. L’amour fondé sur la sagesse est l’amour réel, et non l’amour aveugle. Et découvrir les secrets de l’amour, c’est regarder se dérouler les secrets de la vie.
La base du véritable amour ) passeurs.com

dimanche 20 janvier 2008

La mort ce passage unéluctable!




Devant ce fait accompli que pouvons-nous faire, à part pleurer?

Je me souviens, lorsque j'étais petite, je disais toujours à ma mère:
- Maman je veux mourir avant toi!
Et elle me répondait:
- Ne dis pas des choses pareilles, tu me fends le coeur!
Et je lui répondais:
- Mais j'aurai trop de peine si tu meurs!
Lorsqu'on est petit, on ne se rend pas vraiment compte de l'importance des mots que l'on prononce!
Devant cette mort qui nous fait si peur, quelle attitude adopter?
Il y a des personnes qui se mettent à détester un jour de fête, parce que ce jour précis leur rappelle la perte d'un être cher, ou encore ils se mettent à détester les hopitaux, les médecins, il y a beaucoup de raisons d'en vouloir à l'autre.
Il y a aussi ceux qui ont cru en Dieu durant des années, puis après la perte d'un être cher, voir cet amour qu'ils portaient au Seigneur se transformer en une véritable haine.
Pourquoi ce grand malheur nous arrive-t-il un jour?
Parce que tout a une fin en soi!
Parce que le jour de notre naissance, est associé au jour de notre mort!
La vie de chacun lui appartient, la mort est le prix de sa rançon!
On aura beau aimer de toute notre âme et de tout notre coeur, rien n'y changera, parce que nous sommes impuissants devant ce grand mystère!
Nous sommes des êtres égoïstes, nous ne pensons qu'à notre petite personne. Savons-nous ce qu'il y a après la mort, et ce que deviennent nos défunts?
Pourquoi ne pas se dire, que celui qui part est le plus heureux, parce que maintenant il sait où il va.
En passant de vie à trépas, il est passé à la dimension supérieure. Il n'est plus dans l'ignorance, il a changé de condition.
Aujourd'hui, nos chers contemporains ne désirent qu'une seule chose, le meilleur, le meilleur, encore et toujours le meilleur.
Malheureusement, le meilleur ne va pas sans le pire! car l'un est fait en pendant de l'autre!


samedi 19 janvier 2008

Notre Galaxie


Notre galaxie!
Lorsque je regarde le ciel, la voie lactée, le firmament, je me dis qu'il y a forcément un Génie Extraordinaire derrière cette étendue.
Lorsque je regarde la nature dans toute sa diversité, je me dis encore, qu'il n'y a pas de doute, tout cela a été plagnifié.
L'éco-système est tellement bien fait, la mécanique est tellement bien huilée, que je me dis que tout cela n'est pas dû au hasard.
Il y a une énergie, un souffle régénérateur, une dominante et vivifiante force derrière tout cela.
Toute création à son créateur!
Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre (Genèse 1:1).

mercredi 9 janvier 2008

La Foi!

LA FOI 

Que peut-on dire au sujet de la foi?

C'est quelque chose qui est innée chez l'homme.

Certains luttent ou lutteront toute leur vie contre vents et marées pour l'ignorer, la piépétiner, la rejeter.

Mais! Elle sera toujours là!

Au berceau elle est notre innocence, à l'adolescence elle est notre naïveté, adulte elle est notre conscience bienséante.

Alors, pourquoi tant d'inquiétude et de tristesse dans les yeux de certains jeunes enfants?

Pourquoi tant de suicide chez les adolescents, tant de désinvolture, tant de violence et d'incompréhension?

Pourquoi tant de laxisme chez certains adultes, d'irresponsabilité et de déshonneur?

Certes, l'homme s'est émancipé, il a son libre arbitre, de plus il est doté de cette chose extraodinaire qui est la conscience, quelle bonne chose pour sa nature. Il peut donc vivre et évoluer en toute liberté!

Mais, sur le parcours de son évolution culturelle certains êtres se sont égarés. Car, en chemin ils ont perdu leur vraie nature, le sens exact des valeurs de ce monde.

Dans sa quête de découverte, de domination, il a oublié une chose, c'est qu'il n'est rien Ici-bas!

hélas, dans sa suffisance il est tellement obnubilé par sa soif de connaissance, de pouvoir et de richesse, qu'il est devenu sourd et aveugle.

Pauvre mortel, sa bêtise et son arogance ont fini par le persuader qu'il est vraiment le roi de ce monde.

Malheureusement, il est plutôt en passe de redevenir, ce qu'il fut jadis avant la civilisation; une âme sans repère et livrée à elle même.

Dieu a créé l'homme à son image, le Christ est venu irradié la terre de cet amour divin.

Aujourd'hui, que reflète l'homme moderne aux yeux de son Créateur?

Qu'as-tu fais de ton humanité homme de peu de foi?


jeudi 3 janvier 2008

Dieu Créateur

Psaumes 139

Éternel! tu me sondes et tu me connais,
Tu sais quand je m'assieds et quand je me lève, Tu pénètres de loin ma pensée;

Tu sais quand je marche et quand je me couche, Et tu pénètres toutes mes voies.
Car la parole n'est pas sur ma langue, Que déjà, ô Éternel! tu la connais entièrement.

Tu m'entoures par derrière et par devant, Et tu mets ta main sur moi.
Une science aussi merveilleuse est au-dessus de ma portée, Elle est trop élevée pour que je puisse la saisir.
Où irais-je loin de ton esprit, Et où fuirais-je loin de ta face?
Si je monte aux cieux, tu y es; Si je me couche au séjour des morts, t'y voilà.

Si je prends les ailes de l'aurore, Et que j'aille habiter à l'extrémité de la mer,
Là aussi ta main me conduira, Et ta droite me saisira.

Si je dis: Au moins les ténèbres me couvriront, La nuit devient lumière autour de moi;

Même les ténèbres ne sont pas obscures pour toi, La nuit brille comme le jour, Et les ténèbres comme la lumière.
C'est toi qui as formé mes reins, Qui m'as tissé dans le sein de ma mère.

Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes oeuvres sont admirables, Et mon âme le reconnaît bien.
Mon corps n'était point caché devant toi, Lorsque j'ai été fait dans un lieu secret, Tissé dans les profondeurs de la terre.

Quand je n'étais qu'une masse informe, tes yeux me voyaient; Et sur ton livre étaient tous inscrits Les jours qui m'étaient destinés, Avant qu'aucun d'eux existât.
Que tes pensées, ô Dieu, me semblent impénétrables! Que le nombre en est grand!
Si je les compte, elles sont plus nombreuses que les grains de sable. Je m'éveille, et je suis encore avec toi.
O Dieu, puisses-tu faire mourir le méchant! Hommes de sang, éloignez-vous de moi!
Ils parlent de toi d'une manière criminelle, Ils prennent ton nom pour mentir, eux, tes ennemis!
Éternel, n'aurais-je pas de la haine pour ceux qui te haïssent, Du dégoût pour ceux qui s'élèvent contre toi?

Sonde-moi, ô Dieu, et connais mon coeur! Éprouve-moi, et connais mes pensées!
Regarde si je suis sur une mauvaise voie, Et conduis-moi sur la voie de l'éternité!

Qui êtes-vous ?

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Je suis une mère de famille nombreuse qui aime lire et écrire. J'ai créé ce blog, parce que j'avais envie de parler de belles choses, c'est-à-dire d'amour, d'attention, de tolérance. En somme, tout ce qui anime et qui met notre cœur en joie. Je l'ai créé aussi pour vous parler de mon premier roman Le Hasard Est Ecrit J'ai mis quelques lignes pour vous donner une idée de l'histoire. Cependant,dites-vous bien que l'essentiel est à l'intérieur. Bonne lecture à tous!