jeudi 10 novembre 2011

CROIRE EN DIEU !

Croire en Dieu !
Qu’est ce qui fait que nous avons la foi, qu’est ce qui fait que nous arrivons à croire dur comme fer que Dieu existe. C’est cette chose qui est en nous, qui nous nourrit, qui fortifie notre conviction, oui tout cela nous donne cette certitude extraordinaire que Dieu existe et que notre Seigneur Jésus Christ est notre Sauveur.
Oui Dieu est présent en tout, partout et en tout lieu, parce qu’il a tout créé et le monde lui appartient quoi qu’on en dise. Le Tout-Puissant est l’Alpha et l’Oméga, et il n’y a pas d’autre Dieu que Celui qui vit et règne avec son Fils Jésus Christ notre Bien-Aimé dans l’unité du Saint Esprit. Je t’adore mon Dieu, je t’aime mon Doux Jésus.
A l’origine nous naissons avec une flamme et cette flamme est le lien qui nous unit à notre Créateur, parce qu’elle est la nourriture de notre âme, notre conscience positive. Tout au long de notre vie nous devons veiller à ce que cette flamme ne s’éteigne jamais! Car en laissant le feu de Dieu s’endormir, nous perdons le formidable sens de notre vie, notre guide spirituel !
Notre Créateur nous a fait à Son image et si nous croyons vraiment en cette parole et en Lui nous pourrions déplacer des montages et ce n’est pas une veine parole, parce qu’elle nous vient de Notre Seigneur Jésus Christ notre Sauveur. Nous devons tout faire pour alimenter chaque jours un peu plus notre foi et cela, en nous mettant au service de notre Seigneur.
Il est facile de nourrir ce lien qui nous lie à Dieu, et pour cela nous devons nous tourner vers notre prochain, faire notre devoir c’est-à-dire, ce pour quoi nous sommes sur cette terre, c’est notre héritage spirituel.
Il y a que devant les drames de la vie que l’Homme retrouve sa vraie nature, son humanité. Pourtant notre Seigneur Jésus Christ nous l’a rappelé avant de retourner vers le Père. Aimer, aider, nourrir, visiter, tendre la main à celui qui souffre, c’est-à-dire ne jamais être indifférent à autrui! Hélas nous restons sourds, aveugles et insensibles aux malheurs des autres. Car l’orgueil et la vanité sont devenus l’obsession de ce monde. En courant à la poursuite du vent, ce monde court à coup sûr à sa perte.
Notre Bien-Aimé en mourant sur la croix, nous a laissé un formidable héritage, l’Amour, cette arme extraordinaire aussi puissante que Son Nom.
Mais chers amis un grand danger nous guette, car dans ce monde en perdition, notre seule arme est le nom de notre Seigneur Jésus Christ et si nous l’ignorons, nous sommes sur la mauvaise pente, parce que nous risquons de tomber sous la coupe de celui qui manipule les faibles. C’est lui le plus grand danger de ce monde, et beaucoup de malheureux tombent tous les jours dans son piège. Agissons tel que nous le demande notre Sauveur, afin que le malin ne nous égare pas. Oui ! Notre seule alternative est de suivre la voie du Seigneur !
Jésus nous a envoyé l’Esprit Saint, cette formidable force qui a guidé ses amis durant tout leur ministère sur cette terre. Agissons comme ses Saints Hommes!
Gloire au Père au Fils et au Saint-Esprit, Amen!
NICOLETTE

samedi 15 octobre 2011

LE MONT SAINT MICHEL

L'histoire du Mont Saint-Michel commence par une légende elle même étroitement liée à celle du Monte Gargano, dans les Pouilles (Italie) :
Au début du VIIIème siècle, en 708, Aubert, évêque d'Avranches, suite à une apparition de l'archange Saint-Michel reçoit l'ordre de construire un édifice dans lequel seraient loués les mérites de l'archange. Le pauvre évêque croyant follir n'ose rien faire et décide d'attendre.

Une seconde fois l'archange lui apparaît, et Aubert doute toujours. Mais à la troisième apparition de l'archange plus aucun doute ne subsiste à l'esprit de l'évêque, car Saint-Michel, furieux de ne point avoir été écouté laisse à Aubert une preuve de son pouvoir: dans le crâne de l'évêque apparaît un trou circulaire. Mais l'évêque ne doit pas trop en souffrir car il ne mourra que des années plus tard. Aujourd'hui le crâne d'Aubert est conservé dans la basilique d'Avranches. Cette histoire est-elle vrai ou fausse? Personne ne peut apporter la preuve qui fera pencher la balance d'un côté ou de l'autre. Quoi qu'il en soit, l'évêque certain que ces visions n'étaient point à mettre sur le compte de la folie, entreprend les travaux commandés par l'archange. Il fait construire un petit oratoire en forme de grotte pouvant contenir une centaine de personnes. Il ne reste rien de cette construction sauf un mur visible dans l'une des salles de l'abbaye (Notre Dame sous terre). En 709, construction d'une petite église par Aubert.

Pendant deux siècles des chanoines accueilleront les pèlerins mais au fil du temps ils délaisseront leur mission. Las de cette chose le duc de Normandie, Richard 1er, décide de remplacer les chanoines par des moines bénédictins venus de l'abbaye de Saint-Wandrille. Cela se passe en 966, c'est cette année qui est retenue comme celle de la fondation de l'abbaye. Les bénédictins sont de grands bâtisseurs. Ils font construire une église et quelques bâtiments. Les pèlerins affluent de plus en plus nombreux et la renommée du Mont Saint-Michel ne tarde à être connue de par tout le royaume. Par temps de brouillard, de nombreux pèlerins se perdent sur les grèves et périssent noyés. De plus, les lises, sortes de sables mouvants, ensevelissent les imprudents qui s'aventurent dans la baie sans l'aide d'un guide. Au pied de l'abbaye, une petite ville se construit. Les maisons pour la plupart en bois servent à accueillir les pèlerins. Dès le début du millénaire le métier d'hôtelier existe donc déjà au Mont Saint-Michel. Au sommet du rocher, les moines quant à eux ne perdent pas leur temps, grâce à de nombreux dons, ils bâtissent une vaste église et plusieurs bâtiments annexes: un réfectoire (lieu où les moines prennent leurs repas), un dortoir (lieu où ils dorment), une salle de travail, un promenoir (lieu de détente), une aumônerie (lieu où les pauvres sont reçus et reçoivent l'aumône qui consiste souvent en un léger repas). Quand le duc de Normandie Guillaume le Conquérant décide d'envahir l'Angleterre, il demande son aide à l'abbé du Mont. Celui-ci fait armer quatre bateaux. Après la victoire d'Hastings, Guillaume en signe de reconnaissance fera don de plusieurs territoires Anglais à l'abbaye. En un siècle l'abbaye s'est considérablement enrichie et agrandie. Mais en ce début de XIIème siècles, les malheurs vont se succéder. En 1103 le côté nord de la nef de l'église s'effondre. Dix ans plus tard un incendie se déclare dans une maison de la ville. Le feu se propage de maison en maison et finit par atteindre l'abbaye. Moins de vingt ans après cette catastrophe un nouvel incendie enflamme de nouveau l'abbaye. Cette fois s'en est trop pour les moines qui se relâchent et ne font plus sérieusement leur office.
Pourtant un homme parvient à lui seul à redonner à l'abbaye son éclat antérieur: Robert de Thorigny, élu abbé en 1154. Diplomate il parvient à réconcilier le roi de France avec le duc de Normandie. Erudit, il acquiert un nombre important de livres ( les livres à cette époque ont beaucoup de valeur) et en écrit quelques-uns. Bâtisseur, il fait construire plusieurs bâtiments dont une plus vaste aumônerie pour accueillir plus de pèlerins. A sa mort l'abbé Robert de Thorigny laisse une abbaye plus puissante, plus riche et totalement revitalisée au niveau spirituel. Dès le début du XIIIème siècle, le duc de Normandie et le roi de France entrent en guerre. Les Bretons alliés pour l'occasion au roi de France montent une armée et marchent vers le Mont qu'ils enflamment. En 1204 la Normandie est rattachée au royaume de France.

Le roi de France Philippe-Auguste, pour dédommager le monastère du préjudice causé par les Bretons alloue une forte somme d'argent à l'abbaye. Cet argent est immédiatement investi dans la construction de la Merveille. La construction de ce bâtiment sur un terrain aussi peu propice (le terrain est en pente) est un véritable tour de force. En 1228 le cloître, sommet de l'édifice, est achevé. Très peu d'évènements viendront marquer le reste du XIIIème siècle, les abbés se succèdent, tous apportent leur marque dans la construction du Mont: pour remplacer l'ancienne palissade en bois, des tours et des remparts sont construits, les logis abbatiaux sont également bâtis durant cette période. Au début du XIVème siècle commence la guerre dite de Cent Ans. L'abbaye perd la totalité de ses revenus provenant de ses prieurés Anglais. En 1356, les Anglais s'emparent de Tombelaine et prennent pour cible le Mont Saint-Michel. Le chevalier Du Guesclin est nommé chef de la garnison du Mont. A la tête de ses troupes il remporte victoire sur victoire et éloigne pour plusieurs années la menace Anglaise. Pierre le Roy est élu abbé en 1386, conscient du danger que représentent les Anglais, il décide de construire de nouvelles défenses pour l'entrée de l'abbaye. La tour Perrine, la tour des Corbins et plus particulièrement le Châtelet donne à l'entrée du monastère une défense infranchissable. Les Anglais après une période de répit reprennent l'offensive et, après la défaite du roi de France à Azincourt, plus rien ne semble pouvoir les arrêter. Robert Jolivet le nouvel abbé, organise, grâce à de nombreux impôts, la construction des remparts afin de protéger la ville qui devient elle-même une protection pour l'abbaye.
En homme prévoyant, il fait construire une citerne pour alimenter en eau douce les moines, les soldats et les habitants du Mont. Quand Rouen, capitale de la Normandie tombe aux mains des Anglais, toute la région sauf le Mont Saint-Michel est occupée par les Anglais. Devant tant de puissance l'abbé Robert Jolivet abandonne son monastère et propose ses services au roi d'Angleterre. En 1424, les Anglais assiègent le Mont, mais l'aide de l'abbé est inutile. Il a si bien conçu le système défensif de la ville que rien ne parvient à l'ébranler.
Les Montois (nom donné aux habitants du Mont) parviennent même par quelques attaques éclairs à décourager les Anglais. En 1425, après avoir subi une défaite plus cuisante que les autres, les Anglais se replient.

Après cette victoire, malgré les menaces qui pèsent toujours sur la région, les pèlerins affluent au Mont pour rendre hommage a l'ultime défenseur du royaume: l'archange Saint-Michel. En 1433, un incendie ravage une partie de la ville, les Anglais voulant profiter de cette occasion regroupent leur armée et préparent l'attaque. En 1434, les Anglais se ruent sur le Mont Saint-Michel, une bataille sanglante s'en suit. Les Anglais parviennent à faire une brèche dans le rempart et pénètrent dans la ville en criant déjà victoire. Heureusement, le capitaine du Mont réorganise ses troupes et contre-attaque si puissamment que les Anglais prennent la fuite en abandonnant deux bombardes. La victoire des troupes Montoises redonne confiance aux armées Françaises et, sur tout le territoire, les Anglais reculent. La bataille de Formigny, en 1450 apportera finalement la paix à la Normandie.

SUITE DE L'HISTOIRE DU MONT-SAINT-MICHEL


Consulter les pages de notre livre consacrées à l'histoire du Mont Saint Michel

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mardi 1 mars 2011

ECCLESIASTE


1:1 Paroles de l'Ecclésiaste, fils de David, roi de Jérusalem.

1:2 Vanité des vanités, dit l'Ecclésiaste, vanité des vanités, tout est vanité.

1:3 Quel avantage revient-il à l'homme de toute la peine qu'il se donne sous le soleil?

1:4 Une génération s'en va, une autre vient, et la terre subsiste toujours.

1:5 Le soleil se lève, le soleil se couche; il soupire après le lieu d'où il se lève de nouveau.

1:6 Le vent se dirige vers le midi, tourne vers le nord; puis il tourne encore, et reprend les mêmes circuits.

1:7 Tous les fleuves vont à la mer, et la mer n'est point remplie; ils continuent à aller vers le lieu où ils se dirigent.

1:8 Toutes choses sont en travail au delà de ce qu'on peut dire; l'œil ne se rassasie pas de voir, et l'oreille ne se lasse pas d'entendre.

1:9 Ce qui a été, c'est ce qui sera, et ce qui s'est fait, c'est ce qui se fera, il n'y a rien de nouveau sous le soleil.

1:10 S'il est une chose dont on dise: Vois ceci, c'est nouveau! cette chose existait déjà dans les siècles qui nous ont précédés.

1:11 On ne se souvient pas de ce qui est ancien; et ce qui arrivera dans la suite ne laissera pas de souvenir chez ceux qui vivront plus tard.

1:12 Moi, l'Ecclésiaste, j'ai été roi d'Israël à Jérusalem.

1:13 J'ai appliqué mon cœur à rechercher et à sonder par la sagesse tout ce qui se fait sous les cieux: c'est là une occupation pénible, à laquelle Dieu soumet les fils de l'homme.

1:14 J'ai vu tout ce qui se fait sous le soleil; et voici, tout est vanité et poursuite du vent.

1:15 Ce qui est courbé ne peut se redresser, et ce qui manque ne peut être compté.

1:16 J'ai dit en mon cœur: Voici, j'ai grandi et surpassé en sagesse tous ceux qui ont dominé avant moi sur Jérusalem, et mon cœur a vu beaucoup de sagesse et de science.

1:17 J'ai appliqué mon cœur à connaître la sagesse, et à connaître la sottise et la folie; j'ai compris que cela aussi c'est la poursuite du vent.

1:18 Car avec beaucoup de sagesse on a beaucoup de chagrin, et celui qui augmente sa science augmente sa douleur.

2:1 J'ai dit en mon cœur: Allons! je t'éprouverai par la joie, et tu goûteras le bonheur. Et voici, c'est encore là une vanité.

Qui êtes-vous ?

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Je suis une mère de famille nombreuse qui aime lire et écrire. J'ai créé ce blog, parce que j'avais envie de parler de belles choses, c'est-à-dire d'amour, d'attention, de tolérance. En somme, tout ce qui anime et qui met notre cœur en joie. Je l'ai créé aussi pour vous parler de mon premier roman Le Hasard Est Ecrit J'ai mis quelques lignes pour vous donner une idée de l'histoire. Cependant,dites-vous bien que l'essentiel est à l'intérieur. Bonne lecture à tous!