samedi 25 juin 2022

 Chers lectrices et lecteurs,

Je vous remercie de votre visite sur mon blog qui ne parle que d'amour, 

Car la haine engendre violence et désolation,

Alors que l'Amour cultive Bonté, Entendement et Discernement!

Je vous souhaite bonne lecture.



mardi 30 novembre 2021

vendredi 4 août 2017



CHERS LECTEURS,

Cet ouvrage a déjà été édité, il y a de cela une dizaine d’année, sous le titre : TOUT EST ECRIT.
Nous avons retravaillé le texte, puisque malheureusement cela n’avait pas été fait lors de la première édition.
Aujourd’hui, me voilà satisfaite de cette nouvelle version un peu plus épurée et donc bien plus agréable à lire.







LE HASARD EST ECRIT


Roman d’espérance








Heureux l’homme qui ne marche pas,
Selon le dessein des méchants.
(Ps. 1-1)


                                                           

Sur terre, il existe des êtres extraordinaires. Leur gentillesse, l’amour et l’attention qu’ils portent à leur prochain n’ont pas leur pareil.
Plus ils font du bien autour d’eux, plus leur prospérité est grande.
Jamais ils ne se plaignent, car leur cœur déborde de sagesse.
Malgré le côté obscur que possède tout homme, nulle fourberie n’exposera leur âme.
Car ils ont en horreur toute malveillance.
Toute leur vie, ils suivront avec humilité leurs principes.
Car l’amour et l’énergie positive qu’ils dégagent sont les outils essentiels à l’accomplissement de leurs œuvres humanitaires.



















Chapitre I

  Par un après-midi de printemps bien ensoleillé, de sa voiture, Gabrielle souriait à sa douce mamie qui lui faisait des signes en guise d’au revoir. Le visage rayonnant, elle contemplait avec fascination ce joli tableau qui se déployait devant elle. En effet, sa grand-mère se tenait là, debout près de la véranda, au beau milieu de ses rosiers généreusement ornés de magnifiques fleurs aux multiples couleurs.
  Elle jeta un dernier regard à ce merveilleux décor qui séduirait n’importe quel amoureux de la nature. Tout en faisant un dernier signe de la main à Yaya, elle fit démarrer sa voiture qui disparut au bout de l’allée.

  Gabrielle quittait ce charmant petit village lorrain près de Metz et sa tendre grand-mère, qu’elle appelait Yaya. Elle aimait énormément sa douce mamie, d’autant que son aïeule était la seule famille qui lui restait.
Si elle vivait encore dans la région parisienne, c’était essentiellement pour sa grand-mère. Et tant que Dieu prêterait vie à Yaya, jamais elle ne s’en éloignerait ! Pourtant, elle savait que son avenir était ailleurs.
     Elle sentait tout au fond de son cœur qu’une voie extraordinaire lui était tracée. Et, depuis quelques temps, elle ressentait qu’un vent de liberté lui soufflait dans le dos, à tel point qu’elle avait l’impression que ses pieds allaient quitter le sol.

  Depuis sa plus tendre enfance, sa mamie avait toujours été sa joie de vivre. Elles avaient toujours vécu ensemble, ainsi qu’avec Clothilde, la sœur aînée de Gabrielle. Les deux sœurs passaient la plupart de leur temps chez Yaya et papi Jo, ce qui était tout à fait normal puisque la maison de leurs parents se situait à cent mètres de celle de leurs grands-parents. La famille était très soudée.

  Mais malheureusement, un jour, leurs parents périrent dans un tragique accident de voiture. Elle n’avait alors que seize ans et Clothilde dix-sept. Ce fut dans les bras de Yaya et papi Jo qu’elles trouvèrent tout le réconfort dont elles avaient besoin. Heureusement qu’ils étaient là pour leur donner du courage, les entourer d’amour et d’affection. Ce fut grâce à leurs formidables grands-parents qu’elles purent surmonter cette terrible épreuve. Quant à Papi Jo, cela faisait une bonne quinzaine d’années qu’il les avait quittées.

  Gabrielle allait retrouver son petit appartement douillet, qu’elle avait décoré avec amour. Ce charmant petit pied-à-terre était pour elle le bout du monde, son havre de paix. Confortable, chaleureux, accueillant, il était parfait pour méditer, pour s’adresser à Celui-qui-est, qu’elle adorait tant. Son cœur généreux et débordant d’amour était sagesse et sérénité. Elle ne débutait pas sa journée sans rendre grâce au ciel. Car, infailliblement, elle savait qui elle était et ce qu’elle attendait de la vie.

 Comme tout le monde, Gabrielle avait eu à faire face un jour aux mauvaises surprises de la vie ! Mais, à chaque fois, une force vivifiante et combative venait renforcer son incroyable détermination. Alors, avec humilité et sans relâche, elle continuait à aller de l’avant, sans jamais se poser de questions, parce que son optimiste était sans limite. D’ailleurs, ses amis l’avaient toujours qualifiée d’utopiste, mais c’était sa façon d’être.

  Du plus profond de son âme, Gabrielle nourrissait un rêve : celui de voir un jour le bonheur sur le visage de chacun, que les hommes vivent tous dans une formidable et parfaite harmonie malgré ce sombre et inquiétant dessein que projetait ce monde impitoyable.

  Elle avait acquis cette résolution au cours d’un extraordinaire rêve, qu’elle avait fait le soir de ses dix ans. Depuis, elle avait été à jamais transformée par ce songe. Après cette nuit magique, elle n’avait plus été la même, elle était devenue une autre Gabrielle. Elle avait compris ce message, qui lui disait tout simplement : « L’amour et la bonté seront à jamais la moisson de ton cœur, car ton âme est généreuse. » Depuis, elle n’avait jamais mis en doute les paroles que cet être auréolé de lumière était venu lui dire.

  Adulte, c’était avec allégresse qu’elle accomplissait ses œuvres, en aidant son prochain avec force et détermination. Cette solidarité, elle l’attendait de chacun de ses contemporains, parce que  nul ne devrait hésiter à faire le bien autour de lui. Et, par-dessus toute chose, ne jamais rester indifférent envers les autres !

  Gabrielle était véritablement persuadée que, depuis l’origine de l’humanité, l’Homme, d’instinct, était né pour vivre en communauté. Parce qu’il ressentait un besoin fondamental d’aimer et d’être aimé, d’aider et de partager, car il s’agissait là de l’adrénaline activant le flux existentiel de son âme, celle-ci étant plus que jamais à la recherche de paix et de sérénité. Hélas, beaucoup avaient enfoui au plus profond de leur être cette formidable raison de vivre, pensait-elle inlassablement.

  Depuis de nombreuses années, elle avait toujours suivi ce que lui dictait son cœur et elle agissait sans aucune hésitation. Son cœur et son esprit fonctionnaient à  l’unisson, et cela réjouissait son âme. Elle se savait guidée dans toutes ses décisions.

  Gabrielle exerçait le métier d’infirmière. Elle était satisfaite de son travail, parce que, tous les jours, elle pratiquait des actes qui contribuaient à renforcer sa foi. Et ces gestes qu’elle accomplissait au quotidien lui rappelaient les béatitudes.  Ces extraordinaires paroles que le Christ prononça un jour sur une montagne à tous ceux et celles qui étaient venus afin de l’écouter.

  Depuis quelques temps Gabrielle ressentait que quelque chose changeait en elle, comme si elle se métamorphosait. Aussi, tout cela la persuadait qu’elle pouvait aller encore plus loin dans ses actes de tous les jours vis-à-vis des autres et cela la rendait encore plus forte ! Cependant, elle ne savait pas comment faire pour atteindre cet idéal, son but ultime étant d’arriver à une conversion vraie et perpétuelle.

  Épanouie et d’une mansuétude infinie, Gabrielle était bien dans son corps. Là où elle se trouvait, elle s’y installait en toute confiance,  car elle se sentait toujours à sa place. Elle était spontanée, généreuse et douée d’une étonnante douceur. Elle inspirait la confiance, elle attirait les autres, elle interpellait et séduisait tous ceux et celles qui la côtoyait car d’extraordinaires ondes positives se dégageaient de sa personne. Une grande chaleur irradiait de ses yeux et quiconque posait le regard sur son doux sourire s’en trouvait immédiatement apaisé. On la trouvait toujours à la fois mystérieuse et fascinante. Ses traits angéliques laissaient transparaître la douceur de son âme.

  Dès qu’elle en avait l’opportunité, Gabrielle se rendait à Metz. Même pour deux jours, le besoin de se retrouver auprès de sa mamie était vital, une vraie bouffée d’oxygène.

  Sa grand-mère son rayon de soleil, sa joie, sa source vive, son bonheur, son équilibre, elle avait tellement d’affection pour ce petit bout de femme!
Lorsqu’elle revenait de chez Yaya, elle avait toujours le même air réjoui et épanoui parce qu’elle était tout simplement remplie d’amour.

Ce jour-là, elle reprenait la direction de la porte des Lilas. Elle était vraiment pressée de rentrer. Elle savait qu’elle en avait pour trois heures et quelques minutes de route. Aussi, elle s’était décidée à partir plus tôt. Elle voulait absolument arriver assez tôt à Paris et rendre visite à sa vieille amie Odette.

  Odette était une petite dame d’un certain âge qui n’habitait pas loin de chez elle. Avant de partir pour Metz, Gabrielle lui avait rendu visite et avait trouvé le visage de son amie tellement fatigué qu’elle l’avait quittée avec regret, en lui recommandant vivement de bien prendre soin d’elle, et, surtout, de boire beaucoup d’eau.

  Maintenant qu’elle y pensait sérieusement, elle était doublement inquiète. Odette était restée présente dans ses pensées durant tout le week-end. Elle avait vraiment hâte d’arriver à Paris pour prendre de ses nouvelles. Puis, après avoir rendu visite à sa chère amie, elle se rendrait à l’hôpital où elle travaillait. Elle voulait faire un grand coucou à ses petits malades, mais elle voulait surtout revoir ce petit bonhomme qui avait été admis dans son service, juste au moment où elle allait quitter son travail.
  Lorsqu’elle avait aperçu cet enfant, qui était arrivé dans l’hôpital accompagné de ses parents, elle était tombée en admiration devant son joli minois. D’instinct, elle avait ressenti quelque chose d’exceptionnel en dévorant des yeux ce petit garçon. Aussi, elle avait détecté dans son regard une incroyable intelligence.

Du haut de ses sept ou huit ans, elle l’avait trouvé rayonnant. Il était véritablement radieux, on aurait dit un petit ange égaré, ses yeux et ses cheveux étaient dorés. Son regard était dans le vague, il était comme un oisillon privé de s’envoler à cause d’une aile cassée.


  C’était systématique chez Gabrielle, dès qu’elle voyait un enfant malheureux, c’était tout son être qui souffrait. Et cette souffrance était viscérale. En effet, lorsqu’elle voyait leurs yeux tristes et pleins de larmes, son âme était à chaque fois en émoi. Néanmoins, concernant ce petit garçon, ce n’était pas exactement ce qu’elle avait vu. Mais, elle voulait le revoir, afin de faire plus ample connaissance avec lui.


Mes chers lecteurs,


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Cordialement

Nicolette

dimanche 27 mars 2016

Qui êtes-vous ?

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Je suis une mère de famille nombreuse qui aime lire et écrire. J'ai créé ce blog, parce que j'avais envie de parler de belles choses, c'est-à-dire d'amour, d'attention, de tolérance. En somme, tout ce qui anime et qui met notre cœur en joie. Je l'ai créé aussi pour vous parler de mon premier roman Le Hasard Est Ecrit J'ai mis quelques lignes pour vous donner une idée de l'histoire. Cependant,dites-vous bien que l'essentiel est à l'intérieur. Bonne lecture à tous!