vendredi 15 juin 2007

Quelques lignes de mon roman pour vous!
























Quelques citations pour vous donner une idée sur mes écrits et mes pensées!


Quel homme, en effet, peut connaître les desseins de Dieu, ou bien qui
peut considérer ce que veut le Seigneur?

Les pensées des hommes sont hésitantes et nos réflexions sont
chancelantes. Car le corps, sujet à la corruption, appesanti l'âme, et sa
demeure terrestre accable l'esprit aux pensées multiples. (Le livre
de la Sagesse)

La grandeur de l'homme est grande en ce qu'il se connaît misérable. Un
arbre ne se connaît pas misérable. C'est donc être misérable que de se connaître
misérable; mais c'est être grand que de connaître qu'on est misérable. (Pascal, pensées)

Ô humains, celui-là parmi vous est le plus sage qui, comme Socrate, sait qu'en vérité
il ne vaut rien pour ce qui est de la sagesse. (Platon, Apologie de Socrate)

ROMAN

Ce n'est pas la version corrigée, alors, si vous observez quelques fautes d'orthographes, dites-vous bien que toutes les corrections ont été faites avant l'édition, du moins je l'espère!


Tout est écrit

Chapitre I

Par un après-midi de printemps bien ensoleillé, de sa voiture, Gabrielle souriait à sa douce mamie qui lui faisait des signes en guise d’au revoir. Le visage rayonnant, elle contemplait avec fascination ce joli tableau grandeur nature qui se déployait devant elle. En effet, sa grand-mère se tenait là, debout près de la véranda, au milieu de ses rosiers généreusement ornés de magnifiques roses aux multiples couleurs.
Elle jeta malgré elle un dernier regard à ce merveilleux décor qui, à coup sûr, donnerait envie à tous les amoureux de la nature de l’immortaliser à jamais. Tout en faisant un dernier signe de la main à Yaya, elle fit démarrer sa voiture, qui disparut au bout de l’allée.
Gabrielle quittait ce charmant petit village lorrain près de Metz et sa tendre grand-mère, qu’elle appelait Yaya. Elle aimait énormément sa douce mamie, d’autant que son aïeule était tout ce qui lui restait de sa famille. Si elle vivait encore dans la région parisienne, c’était essentiellement pour sa grand-mère. Et tant que Dieu prêterait vie à Yaya, jamais elle ne s’en éloignerait ! Pourtant, elle savait que son avenir était ailleurs.
Gabrielle était véritablement persuadée qu’une voie extraordinaire lui était tracée. Depuis quelques temps, elle ressentait qu’un vent de liberté lui soufflait dans le dos. Et ce souffle magique lui donnait l’impression que ses pieds allaient quitter le sol.
Depuis sa plus tendre enfance, sa mamie avait toujours été sa joie de vivre. Avec Clothilde, sa sœur aînée, qui était en réalité sa cousine germaine, elles avaient toujours vécu toutes ensembles. Gabrielle et Clothilde passaient la plupart de leur temps chez Yaya et papi Jo, ce qui était tout à fait normal, puisque la maison de leurs parents se situait à cent mètres de celle de leurs grands-parents. La famille était très soudée.

Mais malheureusement, un jour, leurs parents périrent dans un tragique accident de voiture. Gabrielle n’avait alors que seize ans et Clothilde dix-sept. Ce fut dans les bras de Yaya et papi Jo qu’elles trouvèrent le réconfort dont elles avaient besoin. Heureusement qu’ils étaient là pour leur donner du courage, les entourer d’amour et d’affection, ce fut grâce à leurs grands-parents qu’elles purent surmonter cette terrible épreuve. Quant à Papi Jo, cela faisait une bonne quinzaine d’années qu’il les avait quittées. Mais son souvenir restera à jamais gravé dans son cœur.

Gabrielle allait retrouver son petit appartement douillet, qu’elle avait décoré avec amour. Ce charmant petit pied-à-terre était pour elle le bout du monde, son havre de paix. Confortable, chaleureux, accueillant, il était parfait pour méditer, pour s’adresser à Celui-qui-Est, qu’elle adorait tant. Son cœur généreux et débordant d’amour lui apportait sagesse et sérénité. Elle ne débutait pas sa journée sans rendre grâce au ciel. Car, infailliblement, elle savait où elle allait et ce qu’elle attendait de la vie.

Ainsi, comme tout le monde, elle avait eu à faire face un jour aux mauvaises surprises de la vie ! Mais, à chaque fois, une force vivifiante et combative venait renforcer son incroyable détermination. Alors, avec humilité et sans relâche, elle continuait à aller de l’avant, sans jamais se poser de questions, parce que son optimiste était sans limites. D’ailleurs, ses amis l’avaient toujours qualifiée d’utopiste, mais c’était sa façon d’être.
Du plus profond de son âme, elle nourrissait un rêve : Celui de voir un jour le bonheur sur le visage de chacun, que les hommes vivent tous dans une formidable et parfaite harmonie malgré ce sombre et inquiétant dessein que projetait ce monde impitoyable.

Gabrielle avait acquis cette détermination au cours d’un extraordinaire rêve, qu’elle avait fait à l’aube de ses dix ans. Depuis, elle avait été à jamais transformée par ce songe. Oui ! Après cette nuit magique, elle n’avait plus été la même, elle était devenue une autre Gabrielle. Oui ! Elle avait compris ce message, qui lui disait tout simplement : « L’amour et la bonté seront à jamais la moisson de ton cœur, car ton âme est généreuse. » Depuis, elle n’avait jamais mis en doute les paroles que cet être auréolé de lumière était venu lui dire.

Aujourd’hui encore, c’était avec allégresse qu’elle accomplissait ses œuvres, en aidant son prochain avec force et détermination. Ces gestes, elle les attendait de ses contemporains, c’est à dire : que nul n’hésite à faire du bien autour de lui, faire des gestes charitables envers ceux qui étaient dans le besoin, aider les étrangers qui tendaient la main, vivre bien avec ses semblables. Mais, par-dessus toutes choses, ne jamais rester indifférent aux autres !

A suivre
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Vous pouvez me laisser un commentaire, c'est avec plaisir que je vous répondrai.

Orgueil et bétise de l'homme!
















Le livre de la sagesse.

Il se sont dit, raisonnant de travers: " Courte et triste est notre existence, et quand vient la fin d'un homme, il n'y a pas de remède; on ne connaît personne qui soit sorti de l'Hadès.
Car c'est en un instant que nous avons reçu l'existence, et, après quoi, nous serons comme si nous n'avions pas été: fumée, en effet, le souffle qui est dans nos narines, et la pensée, une étincelle produite par le battement de nos coeur.
Qu'elle s'éteigne, notre coeur tombera en cendre, et l'esprit se dissipera comme un air léger.
Notre nom tombera dans l'oubli avec le temps, et personne ne se souviendra de nos oeuvres.
Notre vie passera comme une trace de nuée; elle se dispersera comme un brouillard, que les rayons du soleil poursuivent et abattent de leur chaleur.
Notre vie est le passage d'une ombre; sa fin est sans retour, car le sceau est apposé et nul ne revient.
Venez donc, jouissons des biens présents; usons des créatures avec l'ardeur de la jeunesse; soûlons-nous de vin précieux et de parfums, et ne laissons pas échapper les fleurs du printemps.
Couronnons-nous de boutons de roses avant qu'ils ne se flétrissent.
Qu'aucun de nous ne manque à nos orgies; laissons partout des emblèmes joyeux; car elle est notre part et tel notre lot.
Opprimons le juste qui est pauvre; n'épargnons pas la veuve, et nayons nul égard pour les cheveux blancs du vieillard chargé d'années.
Que notre force soit la règle de ce qui est juste; ce qui est faible est condamné comme inutile.
Traquons donc le juste, puisqu'il nous est à charge, qu'il s'oppose à notre manière d'agir, qu'il nous reproche de pécher contre la loi, et nous accuse de pécher contre les principes de notre éducation.
Il déclare qu'il possède la connaissance de Dieu et il se nomme serviteur du Seigneur.
Il s'est fait pour nous la condamnation de nos pensées, et même sa vue nous pèse; car sa vie ressemble pas aux autres vies, et ses voies sont étranges.
Il en est venu à nous tenir pour des gens de mauvaise aloi; il évite nos chemins comme une souillure; il proclame heureuse la fin des justes, et il se vante d'avoir Dieu pour père.
Voyons si ce qu'il dit est vrai, et examinons ce qui lui arrivera au sortir de cette vie.
Car si le juste est fils de Dieu, Dieu prendra sa défence, et le délivrera de la main de ses adversaires.
Soumettons-le à l'épreuve des outrages et des tourments, afin de connaître sa résignation et de juger de sa patience.
Condamnons-le à une mort honteuse, car, selon qu'il le dit, on aura souci de lui.
Telles sont leurs pensées, mais ils se trompent, leur malice les ayant aveuglés.
Et dans leur ignorance des desseins secret de Dieu, ils n'espèrent pas de rémunération pour la sainteté et ils n'ont aucune estime pour la récompense des âmes pures. (le livre de la sagesse 2,1-22)

mardi 5 juin 2007

Un roman pour raviver la flamme!


















Ecrire pour se retrouver, pour réfléchir, pour se remettre en question, pour avoir une autre vision du monde!

J'ai essayé de le faire en écrivant mon premier roman il s'intitule Tout Est Ecrit.
J'espère qu'il plaira à mes chers contemporains qui voudront bien le lire.

Je vous écris la critique que j'ai eu à la dernière lecture avant impression.

Texte très spirituel il fait beaucoup réfléchir sur soi et le sur le regard porté aux autres.
C'est un livre très positif, doux humaniste et chaleureux.


lundi 4 juin 2007

Toute sagesse vient du seigneur!














Quelques citations
Faites le premier pas sur le chemin de la foi. Vous n'avez pas à le parcourir entièrement, juste à faire le premier pas. (Martin Luther King)
Dieu a les deux bras étendus. L'un est assez fort pour entourer de justice, l'autre assez doux pour nous entourer de grâce. (Martin Luther King)

Ce n'est qu'en aimant nos ennemis que nous pouvons connaître Dieu et faire l'expérience de sa Sainteté. (Martin Luther King)

Vanité des vanités!
Tout est vanité.
Quel profit pour l'homme dans toute la peine qu'il peine sous le soleil? (l'Ecclésiaste)

L'obscurité ne chasse pas l'obscurité, seule la lumière peut le faire. (Martin Luther King)

La règle d'or de la conduite est la tolérance mutuelle, car nous ne penserons jamais tous de la même façon, nous ne verrons qu'une partie de la vérité et sous des angles différents. (Ghandi)

Agir, parler et penser comme si dès maintenant tu pouvais cesser de vivire. (Marc-Aurèle)

L'homme bon ne regarde pas les particularités physiques mais sait discerner ces qualités profondes qui rendent les gens humains, et donc frères. (Marthin Luther King)

Vous devez êtres le changement que vous voulez voir dans ce monde. (Ghandi)


Qui êtes-vous ?

Ma photo
Je suis une mère de famille nombreuse qui aime lire et écrire. J'ai créé ce blog, parce que j'avais envie de parler de belles choses, c'est-à-dire d'amour, d'attention, de tolérance. En somme, tout ce qui anime et qui met notre cœur en joie. Je l'ai créé aussi pour vous parler de mon premier roman Le Hasard Est Ecrit J'ai mis quelques lignes pour vous donner une idée de l'histoire. Cependant,dites-vous bien que l'essentiel est à l'intérieur. Bonne lecture à tous!